Reconnaissance par Jean de Gaufreteau, écuyer, magistrat présidial en Guienne (15 mars 1701 ; fol. 3 v°) ; - par Joseph de Fisson, écuyer, sr de Faugeras (5 septembre 1701 ; fol. 5 v°) ; - par Jean Degérard, écuyer, sr de la Panéterie, habitant de Bordeaux, et autres, pour le village des petits Artigaux, paroisse de La Sauve (même jour ; fol. 6 v°) ; - par Joseph de Fisson, écuyer, ayant droit d'Étienne de Laroque, écuyer, et autres, pour le village de Gazenau, anciennement de Huguet, paroisse de Camiac (7 septembre 1701 ; fol. 8) ; - par Jean de Cazères, vicaire perpétuel de La Sauve (18 octobre 1701 ; fol. 10) ; - pour un tènement dans la paroisse de Camiac, lieu dit à la mothe de Bégueyou à Gasenau(9 novembre 1701 ; fol. 11 v°) ; - par Marguerite Aucoin, veuve de noble Jean de Josset, seigneur de la maison noble Du Rajot, domiciliée dans la paroisse de Saint-Martin-de-Lerme (11 avril 1702 ; fol. 16 v°) ; - par Pierre de Gaufreteau, écuyer, habitant dans la paroisse de Saint-Léon, mari d'Éléonore de Chaubinet (janvier 1702 ; fol. 19) ; - par divers, pour un village dans la paroisse de Camiac, « appellé entiènement à l'Estage Vieil, au Bretton, à la Fenestreet à présent à la Monteille» (10 mars 1705 ; fol. 25 v°) ; - pour une terre, paroisse de Saint-Quentin, à la Vergne de Carensac(21 novembre 1699 ; fol. 27) ; - par Isabeau de Bonnet, veuve de noble François Duduc, écuyer, srd'Ausone, domiciliée paroisse d'Espiet, ayant droit de Louis Delaroche, écuyer, sr de Belair, pour divers biens dont certains confrontent à des fiefs de la maison noble de la Mothe (même jour ; fol. 28) ; - par Thérèse de Pontac, veuve de Jean-Denis Daulède, premier président au Parlement, visant une sentence du sénéchal, du 13 mai 1688, entre l'abbé de La Sauve, prenant fait et cause pour Jean de la Rocque, écuyer, sr de La Ferrière, d'une part, et François-Auguste de Pontac, chevalier, comte de Courbon, Bisqueytan et autres lieux, d'autre (8 mai 1700 ; fol. 31 v°). - Bail à fief d'une terre dans la paroisse de Capian, confrontant du midi à la chapelle du prieuré d'Artoullée ; le preneur s'engage à construire une maison contre lad. chapelle, « sans qu'elle puisse ocuper les vitreaux et fenestres de l'autel d'icelle » (15 décembre 1665 ; fol. 33). - Reconnaissance par divers, pour le village d'Armagnac, sis paroisse de Villeneuve-de-Rions et contenant 38 journaux (12 mars 1672 ; fol. 37 v°) ; - au nom des héritiers de Suau, greffier en la Grand Chambre, et autres, pour le village de Les Bories, même paroisse (3 mars 1662 ; fol. 39 v°) ; - par divers, pour le village Du Taudin, aliasà Damanieu, paroisse de Cardan (1ermars 1672 ; fol. 42) ; - pour un autre maine dans la même paroisse, « au lieu apellé entiennement à Marchan, à Lafageet au Casau Grand,et à présent au maine du Hage[ot] et au Cazellas» (s. d. ; fol. 43) ; - pour un village, paroisse de La Sauve, lieu dit anciennement à Couloumey,actuellement à Marcon,consistant en maisons, tours, fuies, débris de granges, etc., et comprenant 64 journaux, plus 5 autres journaux sur le bord du chemin de servitude dit Du Guardian(25 septembre 1703 : fol. 44) ; - par Pierre Mercié, chirurgien, habitant de la paroisse de Tizac, marquisat de Curton (25 octobre 1704 : fol. 47) ; - par Antoine Clavier, notaire royal à Bordeaux, mari de Catherine Piganeau, fille de feu Pierre Piganeau, notaire royal et juge du marquisat de Curton (27 octobre 1704 ; fol. 50 v°) ; - par Bertrand Plantey, sieur de Guionnet, habitant du port de Génissac (5 septembre 1702 ; fol. 54 v°) ; - par Alexis Teinac, sieur de Gardes, habitant de la paroisse de Moulon (6 septembre 1702 ; fol. 58) ; - par Pierre Duprat, chirurgien, habitant de la paroisse de Moulon, pour une terre dans lad. paroisse, confrontant à Jean Breton, chirurgien (21 septembre 1703 ; fol. 65) ; - pour une vigne dans la paroisse de Croignon, confrontant à un fief de la maison noble de Craing (15 février 1698 : fol. 75) ; - par François Teinac, prêtre, et son frère Alexis, sieur de Gardes, pour le village de Gardes, anciennement aux Lauriers,paroissse de Moulon, et pour divers biens, dont une terre qui confronte de l'est au grand chemin de Grézillac à Moulon et du midi au chemin qui va du précédent à la maison noble de Seignan (25 octobre 1709 ; fol. 76) ; - pour un fief racheté par l'abbaye, le 19 novembre 1703, d'Ardouin de Gaufreteau, baron de Puynormand (31 décembre 1708 ; fol. 78) ; - par Joseph de Fisson, écuyer, sieur de Rougerie, et autres, pour « tout icelluy village et tènemant consistant en cinq corps de maison, granges, apend[s], composant le bourg dud. Camiac, aisines, jardins, terres labourables », etc. (15 décembre 1708 ; fol. 79) ; - par un chanoine de l'église collégiale de N.-D. de Consolation de Génissac (1705 (?) ; fol. 87) ; - par Jean-Luc de Jouglains, écuyer, seigneur de la Tour de Fargues, y domicilié, pour le moulin d'Escorgeboeuf, paroisses de Lignan et de Fargues, pour lequel il a été reconnu en 1413, 1515, etc. (22 mars 1694 ; fol. 89 v°) ; - par Jean de Gères, sieur de la Mothe et de Pugerein, habitant de la paroisse de Lignan, pour partie de la maison de Pugerein, même paroisse, pour le moulin de même nom, baillé à fief à Arnaud de Quaquenon le 19 juin 1433 (1705 ; fol. 90 v°) ; - par Jacques Roberiq, curé de Cursan (28 septembre 1703 ; fol. 94 v°) ; - pour une vigne située dans la paroisse Du Pout, près du chemin conduisant au moulin des héritiers de Pierre de Bonneau, écuyer, sieur de Bedat (28 septembre 1703 ; fol. 98) ; - par « le métayer du sieur Jean de Minvielle, bourgeois et citoyen de la ville de Bourdeaux, seigneur des maisons nobles de Bessan et Camailh » (23 janvier 1705 ; fol. 100 v°) ; - au nom de « noble Jacques de Galleteau, écuyer et médecin juré de la ville de Bourdeaux » (23 janvier 1705 ; fol. 101 v°) ; - par Pierre Hébrard, chirurgien, et autres habitants de la paroisse de Camarsac, pour le village des Constantins ou du Noble, paroisse de Nérigean (9 juin 1700 : fol. 102) ; - par Philippe Minvielle. « citoyen et prévost de la Monnoi de la ville de Bourdeaux », et autres, pour la moitié du village Du Gay, paroisse de Nérigean (17 juillet 1700 ; fol. 104) ; - pour l'autre moitié du village (même jour ; fol. 106) ; - par Bernard de Bernard, chirurgien, habitant de la paroisse de Nérigean (18 juillet 1700 ; fol. 107 v°) ; - par Daris, chirurgien de Libourne (19 août 1700 ; fol. 109) ; - pour le village de Crabemaure, aliasJean Gassies, paroisse de Nérigean (20 février 1705 ; fol. 120 v°) ; - par Simon Chapeau, chirurgien, habitant de la paroisse de Génissac (même jour : fol. 121 v°) : - par Messire de Pontac, écuyer, seigneur du château d'Anglades et de la maison noble de Fourens, résidant en lad. maison noble (29 octobre 1705 ; fol. 136).