Reconnaissance pour une terre labourable sise dans la paroisse de Génissac, « au lieu appellé proche la chapelle dudit port de Génissac, confrontant d'un cotté, du couchant, à la ruette appellée de Carcaigni, » pour un barrail dit barrail de Mouchac, dans la paroisse de Génissac et la palu de la Bonne Maison pour lebarrail d'Arnaud Chavaud, dans la même palu, confrontant « au grand chemin encien qui souloit conduire du port de Pierre-Fitte aux pleines de la Landette », etc. (s. d. ; fol. 1) ; - par Gabriel de Fisson, sr de Latour, et autres, en présence de J.-B. Durand, dit Lacombe, chirurgien, habitant du port de Génissac (20 février 1701 ; fol. 6 v°) ; - pour une terre dans la paroisse de Génissac, lieu dit à Teste Reynaud(même jour ; fol. 8 v°) ; - par François Lhommeau, chirurgien, de Libourne, pour une terre au port de Génissac, près de la chapelle (même jour ; fol. 11) ; - par Antoine de Gontier, conseiller en la chancellerie près la Cour des Aides de Guienne (22 février ; fol. 27) ; - par Antoine de Cazenove, écuyer, sieur de Lerisson (23 février ; fol. 28 v°) ; - par François Plantey, ancien greffier au présidial et sénéchal de Libourne, pour divers biens, dont un confronte à Demay, lieutenant particulier aud. presidial (7 septembre 1702 ; fol. 37) ; - par Jean Du May, sieur de Caillet, habitant du port de Génissac (même jour ; fol. 42) ; - par Goudicheau, conseiller au présidial de Libourne, au profit de l'abbé de La Sauve, « prieur du prieuré Saint-Nicollas, du port de Génissac » (même jour ; fol. 43) ; - pour un pré confrontant à un « fief du seigneur de la maison noble de Morlau, scittuée dans la paroisse de Moullon » (1eraoût 1704 ; fol. 53) ; - pour un domaine confrontant à une terre de M. de Pontac, dépendant de sa maison noble de Fourens, et à un fief de la maison noble de Bisqueytan (23 septembre 1703 ; fol. 62) ; - pour diverses terres dans la paroisse de Saint-Quentin, l'une à la Caussade,« proche et presque au-devant le village Du Vignau », une autre au Guot,près du même village, une autre à Castilhon,etc. (24 septembre 1703 ; fol. 63) ; - pour une terre dans « la paroisse de Saint-Donis de Climat », près du « chemin quy conduit de l'églize dudit Saint-Donis à La Seauve entre deux et lequel chemin soulloit estre ci-devant vis-à-vis du corps de l'églize dudit Saint-Donis et ce randoit à la mothe de Viguey »(12 juin 1700 ; fol. 71) ; - par divers, pour un « grand tènemant » dans la même paroisse (« Dans le château et abbaye de La Seauve », 14 juillet 1700 ; fol. 73 v°) ; - par divers, pour un tènement de 34 journaux, confrontant à un « fief de la maison noble de Jonqueyres et aux pelloues du sieur Jean Laville, comme seigneur de la maison noble de Barraud » (21 avril 1702 ; fol. 79 v°) ; - par Huguet Fournier, chirurgien, habitant de Tizac (26 octobre 1704 ; fol. 83 v°) ; - par Pierre Mercié, chirurgien de la même paroisse (27 octobre 1704 ; fol. 84 v°) ; - par Aimond Marlhac, chirurgien, de la paroisse de Saint-Quentin (25 septembre 1703 ; fol. 88 v°) ; - pour un pré dans la paroisse de Nérigean, à la Rivière de Labie,près du moulin de Labrède (27 juillet 1704 ; fol. 98 v°) ; - par Étienne Fisson, écuyer, habitant de Saint-Quentin (28 juillet 1704 ; fol. 104) ; - par Simon Chapeau, chirurgien, habitant de la paroisse de Génissac, pour un bien dans la paroisse de Génissac, à Valentinhanou à Martouret(1705 ; fol. 108) ; - pour une terre qui confronte à autre terre « dépandant du couvent de la moinerie de Génissac » (28 novembre 1704 ; fol. 118) ; - pour une vigne dans la paroisse de Croignon, confrontant à un fief de la maison noble de Crain et à une vigne de « Jean-François de Saint-Tout, escuyer, seigneur de la maison noble de Jonqueire et de Languissan » (15 février 1698 ; fol. 126).

2 MI 1720