Reconnaissance par Benoît de Piis, habitant de Saint-Caprais, tant en son nom qu'au nom de tiers dénommés dans l'acte, pour un moulin dans la paroisse de Quinsac, plus pour la moitié du moulin d'Escorgebeu, sis dans les paroisses de Lignan et de Fargues (17 avril 1515 ; fol. 1) ; — pour moitié de ce dernier moulin, par Jeanne de Les Courtz, au nom de Thomas de Lamothe, son mari (17 avril 1515 ; fol. 3 v°) ; — par un habitant de Luga-gnac, pour une terre sise dans lad. Paroisse, près « de l'estang du mollyn de M. de Barrauld » (3 août 1515 ; fol. 11) ; — pour une terre et vigne dans la paroisse de Saint-Quentin, lieu dit au Garriga, confrontant au « ryeu et chaussée du moullin de Bisqueytan » (19 juillet 1519 ; fol. 27 v°) ; — pour un pré à Saint-Genès, près du. Chemin qui va au moulin de Lubert (15 avril 1517 ; fol. 47) ; — pour une terre sise à Génissac et dépendant de La Sauve, « pour raison de l'administration du prieuré Saint-Nycollas au port de Génissac » (10 juin 1518 ; fol. 54) ; — pour une terre sise à La Sauve, « au claux Sainct-Gérault » (16 février 1518, n. s. ; fol. 60) ; — pour des biens à Guillac, confrontant à « la ferme de Jehan Xantongey » (25 octobre 1518 ; fol. 63 v°) ; — par J. -P. De Pellerin, marchand à Tours, pour des biens sis à Pompignac, qu'il a acquis par échange (12 novembre 1518 ; fol. 65 v°) ; — aux mains de frère Amanieu de Leyre, prieur Du Casteret, procureur de l'abbé de La Sauve (26 juillet 1519 ; fol. 94) ; — pour une terre à Nérigean, confrontant « au molyn (sic) qui va au molyn de Labrède » (20 janvier 1520, n. s. ; fol. 98) ; — pour un bien à Nérigean, confrontant « au chemyn commun par lequel on va et vient du château de Génissac à Bisqueytan » (7 août 1519 ; fol. 99 v°) ; — aux mains de Jeannot de Pinpoy, prieur de Roumegou (?), procureur de l'abbé de La Sauve (2 novembre 1518 ; fol. 115) ; — pour partie d'une maison à La Sauve, où « ilz ont acoustumé faire le pain et brulher la cire » (31 décembre 1519 ; fol. 132 v°) ; — par Pierre Druc, maître maçon à La Sauve, pour divers morceaux de terre, dont chacun est « merché et divisé par picquetz » (16 novembre 1500 (?) ; fol. 138 v°) ; — par Pierre Pibo-teau pour un moulin, l'emplacement d'un autre moulin, une « mote » etc., le tout paroisse de Naujan, sur l'En-granne, lieu dit au moulin d'Estournet ; témoin noble Jacques de Nycolau, seigneur de Mondinet de Jugazan (?) (18 septembre 1517 ; fol. 152 v°) ; — pour une terre dans la paroisse de Romagne, seigneurie de Blaignac, en Ba-zadais, lieu dit à Lugaignac (25 novembre 1521 ; fol. 155) ; — par Jean Bergeon, maître chirurgien à La Sauve (16 avril 1523 ; fol. 168 v°) ; — à Jeanne de Chas-saigne, dame de Génissac, mère et tutrice de Catherine, Isabeau et Marguerite de Ségur, filles de feu Gaston de Ségur, seigneur de Théobon de Puchagut et de la maison noble de Pressac (19 novembre 1522 ; fol. 181) ; — à la même pour un pré sis à Daignac, lieu dit Au Temple, près du ruisseau descendant du moulin Du Temple (?) (1522 (?) ; fol. 187). — Contrat de mariage (Les feuillets 196-242 constituent partie d'un registre du notaire Jean Alegret.) de Bertrand Guillebault, greffier de La Sauve (10 janvier 1535, n. s. ; fol. 199). - Transaction entre David et Charles de Montferrand, au sujet de l'héritage de feu Jean, leur père : suivant Charles, « la costume ancienne du pays de Bourdeloix et seneschaussée de Guyenne... Estoit que entre nobles, quant le père décedde sans faire testament, le filz aisné luy succédoit entièrement et le puisné ne pouvoit demander que la table, qu'estoit son vivre en la maison entièrement (sic) et vestement seullement, ou la légitime » ; témoins : Jean Jaubert, chevalier, seigneur de Barrault, Henri (?) de Ségur, seigneur de Sorens, Bertrand de Mandosse, seigneur de Monlau, Jean de Lamothe, seigneur de Fargues (Créon, 9 février 1528, n. s. ; fol. 203 v°). - Arbitrage entre Jeannette de Lafaye et Jean Noël, son curateur, d'une part, et Michel de Lafaye, sur un différend relatif à un retrait lignager, porté devant la cour de la seigneurie de Rauzan, et en appel au siège de Bazas (2 janvier 1539, n. s. ; fol. 209). - Contrat de mariage entre Jean de Lacaussade, fils de Jean, notaire royal à Saint-Pey-de-Castets, « seigneurie de Cyvrac », et Isabeau Estabart : « Et se sont assocyez et affrairez en ensuivant la coustume du présent pays de Bazadoys » (28 janvier 1539, n. s. ; fol. 211) ; - entre Bernard de Biers et Philippe Briaud : Raimond de Biers, frère du marié, promet à celui-ci 200 l. tourn. De « douaire », plus de « fournyr pour luy l'argent que coustera ung office de notaire royal » ; témoins : Pierre Sycard, curé de Nérigean, noble Poton de Ségur, etc. (19 janvier 1534, n. s. ; fol. 213 v°). - Autre contrat de mariage : les époux « se sont affrairez et associez » (4 mars 1540, n. s. ; fol. 216). - Contrat entre Jean de Lacaussade, notaire royal à Saint-Pey-de-Castets, et Auguette de Lafont, veuve d'Arnaud Yvon : la mariée apporte en dot 400 l. ; le marié lui donne en gain de survie « le tiers de ladicte somme, lequel tiers ledict de Lacaussade luy en a faict donnation par nopces et pour porter les charges dud. Mariage, en ensuyvant la coutume de Bourdeloys » ; hypothèque générale pour lesd. Sommes, dot et « tiercement », qui valent au total 600 l. ; clause par laquelle les mariés se déclarent « affrérez et assocyez moictyé par moictyé » pour tous les acquêts ; la femme garde la disposition de ses biens en dehors de la dot, et le mari lui donne l'autorisation nécessaire (16 janvier 1539, n. s. ; fol. 218). - Acte par lequel led. Jean de Lacaussade consent à ce que sa femme tienne, le cas échéant, les biens obligés pour le paiement du douaire et jouisse des fruits sans que ceux-ci soient comptés pour led. Paiement (24 janvier 1539, n. s. ; fol. 220). - Vente de partie d'une maison sise à La Sauve, devant la halle (25 avril 1539 ; fol. 224). - Bail à ferme du Moulin neuf, à Daignac (3 juin 1533 ; fol. 232 v°). - Vente par Jérôme Juge et Guillaume Juge, « juge et lieutenant de la seigneurie de Rouzan » (30 septembre 1538 ; fol. 234 v°). - Reconnaissance pour une terre sise dans la paroisse de Saint-Quentin, près le ruisseau du moulin de Pey Froment (1524 ? ; fol. 246) ; - pour une vigne à Saint-Jean-de-Blaignac, confrontant à celle de noble Bertrand Temple, sr de La Mote (15 avril 1524 ; fol. 255 v°) ; - pour un moulin à Camarsac, dit le Molyn dez Monges (avril 1524 ; fol. 257) ; - par Jean Jaubert, chevalier, seigneur de Barrault (16 août 1524 ; fol. 257 v°) ; - pour une terre dans la paroisse de Saint-Martin-de-Mazerat, confrontant « à l'estang du molyn appelé le molyn de Sainct-George » (1524 ; fol. 260) ; - pour une vigne dans la même paroisse, sous l'église de la Madeleine (1524 ; fol. 260) ; - pour une vigne dans la même paroisse, près du ruisseau du moulin d'Endron (1524 ; fol. 260 v°) ; - par Jean Gilhebauld, juge de la prévôté royale de Saint-Émilion, pour une part de maison à la Porte Bourgeoise (17 avril 1524 ; fol. 266 v°). - Bail à cens d'un moulin sis dans les paroisses d'Espiet. Et de Saint-Léon et appelé le moulin de Pontedum (?) aliasde Fougière (3 mai 1523 ; fol. 278). - Reconnaissance pour partie d'un pré sis dans la paroisse de Naujan, près du ruisseau du moulin d'Estève (s. d. ; fol. 281 v°). - Bail à fief à Pierre Piboteau, laboureur, du moulin d'Estournet, sis paroisse de Nérigean, et de l'emplacement d'un autre moulin près du premier (18 août 1520 ; fol. 283 v°). - Reconnaissance pour un bien sis dans Postiac, lieu dit à La Mote (25 avril 1526 ; fol. 286). - pour le moulin de Saint-Martin-de-Sescas (29 octobre 1514 ; fol. 299) ; - par Catherine Xantongey, domiciliée à Guillac (30 octobre 1524 ; fol. 303) ; - par Perrin de Romefort, de Guillac, comme « conte de la parroisse », pour une vigne et une « maison de tère » près du cimetière (31 octobre 1524 ; fol. 308 v°) ; - pour un bois sis à Saint-Martin-de-Sescas, lieu dit au Mayne de La Mote (fol. 315 v°) ; - pour des vignes dans la paroisse de La Sauve, lieu dit à Font-Gonbauld (18 janvier 1526, n. s. ; fol. 328) ; - pour un pré dans la paroisse de Saint-Quentin-de-Baron, près du moulin de Pey Forment (2 février 1526, n. s. ; fol. 331) ; - pour une vigne dans la paroisse de Branne, lieu dit au Castera (18 mars 1526, n. s. ; fol. 353 v°) ; - pour un pré dans la paroisse d'Espiet, près du moulin de Luc (23 décembre 1526 ; fol. 358 v°) ; - pour une terre dans la paroisse de Romagne, lieu dit à Lugaignac (18 mars 1528, n. s. ; fol. 368 v°) ; - pour un bien dans la paroisse de Lignan, lieu dit au Puyau de Lédignan, près du chemin de Loupes au moulin Dailhayre (26 octobre 1528 ; fol. 375 v°) ; - au profit de Louis Melet, chevalier, sr de Creins, pour un bien sis dans la paroisse de Nérigean, lieu dit aux Places de Creins (fol. 389 v°) ; - par un habitant d'Espiet, « seigneurie de Moton » (fol. 403).

2 MI 3067