Cahier I. Reconnaissance pour un pré « contenant trois journaulx ou environ au cordeau dudict Cubzaguès » (15 mai ; fol. 14) ; - pour « une pièce de terre partie en labourage, partie en jardin et le reste en jeune ( ?) plancte, le lout en ung tenant, contenant la journée de deux pères de beufz et demy journée d'home ou envyron, qui revyen à dix-neuf onces et demye au cordeau dud. Cubzaguès » (15 mai ; fol. 16) ; - par Pierre Andrieu, curé de Lalande, au marquisat de Fronsac (19 mai ; fol. 22) ; - par Élie Allibert, « sonneur de vyellon », domicilié à Saint-André (19 mai ; fol. 24 v°) ; - par Jean Dupont, armurier à Saint-André, agissant au nom de sa femme (21 mai ; fol. 30). - Cahier II. Reconnaissance par Guillaume Landart, chirurgien à Saint-André (13 novembre ; fol. 2 v°) ; - par Pierre Debayes, juge ordinaire des juridictions de Cubzagais et de Cadillac, pour une vigne dans la paroisse de Saint-André, au lieu dit à la Caussade (14 novembre ; fol. 7 v°) ; - par Pierre Constantin, notaire à Saint-André (15 novembre ; fol. 20 v°). - Cahier III. Reconnaissance pour une terre sise à Peujard, « contenant trèze onces et ung tiers d'once, au cordeau dudict Cubzaguès » (fol. 27) ; - pour une vigne à Saint-André « contenant ung journault et deux onces, au cordeau et mezure dudict Cubzaguès, et pour labourer lad. Vigne y a sept hommes ( ?) ou environ, comme led. Affebat a dict » (fol. 33).

2 MI 3031-1