Procès contre Louis Doreille, conseiller au parlement de Paris, prieur commendataire de Saint-Léger, appelant de dommages à lui causés par l'abbé de La Sauve (1519-1521). - Inventaire des productions de l'abbé : mention d'un vidimus fait à la requête de fr. Raimond Hugon, prieur de Saint-Léger, le 17 mars 1374 (a. s.) ; d'extraits d'un volume relié en veau, commençant : « Quomodo dominus Geraldus cum suis in Silva venerit et eos Augerius, etc. », comptant 243 feuillets et finissant : « Actum apud Silvam Majorem, anno Domini millesimo ccmoquadragentesimo (sic),mense mayo » ; d'une transaction conclue, le 6 novembre 1396, par fr. Jean Macquereau, prieur de Saint-Léger ; d'autre transaction du 7 mai 1457 par fr. Jean Barroys, prieur du même prieuré ; d'autre transaction de 1466 par fr. Jean de La Volpilière, prieur dud. prieuré ; etc. (s. d.). - Articulations de l'abbé Jean de Larmendie contre le prieur de Saint-Léger : on célèbre à l'abbaye, le jour des stsSimon et Jude, un chapitre général auquel assistent les religieux du monastère et, au moins tous les trois ans, les titulaires de prieurés relevant de lad. abbaye (1521 environ). - Citation à témoin à frères Amanieu de Leyre, Jean de Suris et Arnaud de Serval, prieur du Casteret, de Ruch et de L'Isle-d'Arvert (8-11 janvier 1522, n. s.). - Afferme du prieuré par Louis Doreille, évêque de Comminges, abbé d'Issoire et prieur commendataire de Saint-Léger (10 avril 1523). - Collation par Guillaume Goudoyn, prieur de Belleval, au diocèse de Soissons, vicaire général de l'abbé de La Sauve, à frère Robert de Noeufves, du prieuré de Saint-Léger, vacant par le décès de Louis Doreille (6 décembre 1523). - Procuration par frère Robert de Neufve, prieur de Saint-Léger (13 mai 1524). - Collation du prieuré à Bertrand Andral, aliasde Landaudrie, à la suite de la mort de X. « de Selva » (?), précédent prieur (copie ; 5 août 1569). - Collation à Bertrand Andral, aliasde Landaudrie, du prieuré de Saint-Léger, vacant par la mort de Pierre Pichenar (?) (22 décembre 1572). - Arrêt du Conseil dans la procédure suivie à la requête de Jacques Odot, soi-disant prieur de Saint-Léger, contre Bertrand Andrail, aliasde Landraudye, également soi-disant prieur dud. prieuré, accusé de faux : l'instance de faux est jointe à l'instance au possessoire et Bertrand Andrail est provisoirement élargi (17 janvier 1578).